<%@LANGUAGE="JAVASCRIPT" CODEPAGE="CP_ACP"%> Maurice Marois
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Institut de la Vie

 

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«La vie, facteur d'unité»

 

Destinée humaine

Centre mondial de l’Institut de la Vie sur la Destinée Humaine

« Cathédrale de l’Esprit, ce Centre pourrait nourrir nos réflexions dans notre quête de sens. Il pourrait aussi contribuer à éclairer les décisions stratégiques de l’humanité et donner une voix à la volonté de vivre et à l’espérance. 

 Cathédrale longtemps invisible et silencieuse mais bientôt promise à la lumière. » 
 Maurice Marois.

Un projet ambitieux, nécessaire, possible

Il a choisi la vie, thème unificateur, dynamisant, ouvert sur l’avenir ; la vie, enjeu politiquement neuf.

Un mécanisme pour le centre

Nous proposons de retenir pour règles statutaires l’indépendance, la flexibilité, le vaste champ de vision, le choix des meilleurs.

Les problèmes seraient traités non pas dans des cours magistraux, mais par des congrès internationaux, des symposiums. Sur les sujets controversés, des confrontations seraient organisées entre les points de vue opposés dans un climat de liberté sereine. Tout serait objectivement et universellement diffusé par les moyens modernes de communication. L’institution s’interdira d’être normative, même si par la publicité des débats elle permet une prise de conscience. Elle tentera modestement d’être un laboratoire d’une sagesse qui se cherche.

Comment assurer la permanence dans le mouvement ?

La permanence : un comité de sages se recruterait lui-même par cooptation selon les critères de la compétence, de la rigueur, de la lucidité, de la générosité, du sens des valeurs fondamentales ; il veillerait à la rectitude de la démarche du Centre.

Le mouvement : ce comité choisirait les thèmes, certains éternels car ils correspondent à des constantes de l’humanité ; d’autres actuels concerneraient les défis nouveaux de l’histoire.

En s’intégrant dans l’Institut de la Vie, dont il serait la suprême justification, il bénéficierait de sa réputation, de son réseau universel d’hommes et femmes de pensée, de sa crédibilité dans la communauté scientifique, de la confiance diplomatique mondiale acquise au cours de plusieurs décennies et de son rayonnement spirituel.

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Conclusion

En réalisant ce grand dessein, nous sommes fidèles à ce que voudrait être l’Institut de la Vie. Il n’est pas seulement une organisation de recherche et d’action qui se veut réaliste, vouée à des œuvres concrètes, utiles et efficaces. Il est un chant, le chant de l’homme qui lance aux étoiles l’interrogation sur la vie et sur sa propre vie, qui projette son espérance vers un avenir plus riche de justice, de fraternité, d’amour. Il est l’affirmation  de l’être humain dans la grandeur de son intelligence, de sa liberté, de l’autonomie de sa volonté. Il est le chant du monde, dans la majesté de ses lois au-delà de l’antique chaos, dans son harmonie au-delà des dissonances, dans sa durée en dépit des traverses de l’histoire.

Depuis près de quarante ans, l’Institut de la Vie en observe le cours. Anxieux, l’âme meurtrie par la souffrance du monde, mais aussi gonflée d’espérance quand l’aventure chaotique s’ouvre sur des promesses heureuses, quand le tumulte laisse place à l’harmonie, quand au-delà des ténèbres palpite une aube incertaine, quand dans son combat la vie souveraine s’affirme dans sa puissance et sa splendeur.

Nous aussi, nous sommes les « enfants du siècle », mais de quel siècle ! Un siècle dominé par le pouvoir que les hommes, encore dans leur préhistoire, se donnent à eux-mêmes par la science et qui doivent par nécessité éduquer leur liberté, maîtriser leurs passions, se ressourcer aux sagesses éternelles, et s’en inspirer pour forger une sagesse renouvelée. Devant des situations qu’ils n’ont jamais connues, ils doivent se confronter à d’immenses défis non pas les mains nues comme des voyageurs sans bagages, mais enrichis de toutes les richesses du monde, armés de toutes ses sagesses, nourris de toutes ses expériences, chargés de toutes ses attentes, comme des adultes enfin, déterminés à accomplir l’humanité de l’homme.

Dans le tumulte de notre fin de siècle, chacun perçoit l’attente d’une nouvelle renaissance, de l’avènement d’un temps où seraient reconnues la valeur de la vie et la grandeur de l’homme, l’homme dans l’exercice plénier de sa liberté responsable, l’homme étincelle d’esprit, créature d’amour.

«Le vent se lève, il faut tenter de vivre.» Paul Valéry.

 

Les raisons de sa création et les buts du Centre

Nous devons aboutir à un consensus en dépit des attitudes et des croyances souvent conflictuelles qui divisent l’humanité.

Notre but est :

Notre mission est d’abord de faire œuvre de pensée ; nous éviterons des prises de position politiques partisanes, idéologiques.

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