<%@LANGUAGE="JAVASCRIPT" CODEPAGE="CP_ACP"%> Maurice Marois
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Institut de la Vie

 

un des premiers lieux de réunions

Château de Dampierre

«La vie, bien premier.»

Pierres blanches

SOMMAIRE

L’INSTITUT DE LA VIE
François de CLERMONT-TONNERRE et Maurice MAROIS

MESSAGE
Jean ROSTAND, de l’Académie Française

AXIOLOGIE ET BIOLOGIE
Gabriel MARCEL, de l’Académie des Sciences Morales et Politiques

PASSE ET AVENIR DE LA VIE, SCIENCE ET RESPONSABILITE
Maurice MAROIS, Professeur Agrégé à la Faculté de Médecine de Paris

MESSAGE A L’INSTITUT DE LA VIE
André MAUROIS, De l’Académie Française

POUR  L’INSTITUT DE LA VIE
Louis ARMAND, De l’Académie des Sciences Morales et Politiques

L’INSTITUT DE LA VIE ET SES PROBLEMES
René POIRIER, De l’Académie des Sciences Morales et Politiques

La vie et le sacré
Gabriel MARCEL, De l’Académie des Sciences Morales et Politiques

DE L’AMBIGUITE DE LA SCIENCE A L’INSTITUT DE LA VIE
Jean ROSTAND, De l’Académie Française

Une des sections du tome I des Documents pour l’Histoire s’intitule « Pierres blanches ». Voici ce qu’en dit Maurice Marois dans son introduction : « Le parcours de l’Institut de la Vie est marqué de pierres blanches. La défense de la vie a inspiré à de beaux esprits des textes qui sont d’importants témoignages. » Dans ce regroupement d’articles figurent quelques uns de ceux qui informaient les lecteurs de la revue Médecine de France que nous reproduisons ici.

 

L’INSTITUT DE LA VIE

François de CLERMONT-TONNERRE et Maurice MAROIS

La revue MEDECINE DE FRANCE est heureuse et honorée de présenter dans ce numéro l’importante création de l’Institut de la Vie. Le Professeur agrégé Maurice Marois et François de Clermont-Tonnerre en exposent le sens et les buts. Jean Rostand et Gabriel Marcel éclairent ensuite certains aspects fondamentaux du haut lieu de pensée et de recherche que se veut être l’Institut de la Vie. Médecine de France publiera d’autres textes essentiels, notamment ceux de MM. Jacques Rueff, René Poirier, et Louis Armand.

François de Clermont Tonnerre

La vie ne peut être dissociée de l’évolution de la terre. Même si elle est un phénomène universel, pour nous elle caractérise essentiellement notre planète.
La vie humaine baigne à ce point dans la vie terrestre – et la vie terrestre converge à ce point vers la vie humaine – que nul ne peut rester insensible à leur destin.
L’évolution technique de notre civilisation scientifique met en cause le destin de l’homme. On peut concevoir la vie sans l’homme ; peut-on concevoir la terre sans l’homme, « le dernier support, ce qui a été mis par-dessus le pithécanthrope, sans ce qu’il a apporté d’essentiel, sans le psychisme ? » ; (Louis Armand.)

Pour la première fois, l’homme, cet aboutissement, tient lui-même les clés de son évolution future. L’homme détient désormais le pouvoir d’abolir toute forme supérieure de vie. Il en ressent une confuse inquiétude, et la grandeur de son choix l’obsède.
Il peut en concevoir une issue pessimiste, verser dans le scepticisme, le désabusement.
Ce n’est pourtant pas l’effroi de périr, mais l’ambition de vivre qui a jeté l’homme dans l’exploration de la nature, sur les routes de l’air, à la conquête de l’espace.
Physiciens et philosophes se sont déjà inquiétés des conditions dans lesquelles évolue notre civilisation.

Aujourd’hui, ce sont les biologistes qui sortent de leur tour d’ivoire. Ils ont puisé dans leur science des raisons d’admirer, et de respecter la vie. Ils sont conscients du pouvoir que la science donne aux hommes. Ils désirent exercer leur responsabilité sociale en enseignant à tous la valeur de la vie et l’obligation de la sauvegarder.

Dès lors, aux côtés des ingénieurs occupés à organiser les ressources et les liaisons de la terre, ils veulent grouper avec eux, dans  un haut lieu, d’autres responsables de l’avenir chargés de définir et de propager les buts concrets, de plus en plus élevés, sur lesquels doit dans le futur se concentrer l’effort des activités humaines.

Ce haut lieu, c’est l’Institut de la Vie. Haut lieu de pensée et de recherche, organisme aussi d’action par le moyen de la conscience universelle, haut lieu où serait ouvert le dialogue de la science et des hommes, examinés tous les aspects de notre condition et préparées les réponses aux grandes options biologiques et éthiques devant lesquelles l’humanité se trouve placée. Y sont étroitement associés des hommes de toutes les disciplines de pensée, de tous les types d’activité, de tous les continents.

Ces hommes libérés de toute arrière-pensée politique ou philosophique, de tout préjugé d’origine, de couleur ou de nationalité, veulent analyser la situation dans laquelle la science place l’humanité et prendre la mesure de leurs responsabilités envers l’ensemble des êtres vivants dont ils sont solidaires ou dépendants, et envers le destin de leur propre espèce dont ils sont comptables. Ils chercheront à déterminer, dans les forces qui s’affrontent, les composantes positives et à les faire converger vers une conception commune de l’avenir.

Deux lignes d’action se sont dessinées :
* institutionnaliser, pour lui donner une forme permanente, une réflexion sur la condition de l’homme du XXème siècle considérée sous le triple aspect scientifique, éthique et social ;
* créer des instituions symboles pour sensibiliser les hommes aux valeurs de la vie.
Acte de foi raisonné, optimiste, déterminé et pur de but, tel est l’Institut de la Vie.

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MESSAGE

Jean ROSTAND, De l’Académie Française

Jean Rostand

Je tiens à m’associer par l’esprit et par le cœur à tous ceux qui, à vos côtés, vont s’appliquer à affermir l’existence et à précise la personne de ce jeune Institut de la Vie, que nous avons vu naître il y a seulement quelques mois, et qui, animé par votre idéalisme lucide, éveille déjà en tout lieu une attention chargée d’espoirs.

Issue d’une conjonction si précieuse et significative qu’elle suffirait à nous rassurer sur son destin, puisqu’en lui s’unissent les biologistes et les anciens combattants , les hommes de curiosité et les homme de sacrifice, ceux qui cherchent à savoir ce que c’est que la vie et ceux qui savent ce que c’est que la mort, ceux qui s’attachent à déchiffrer les secrets du protoplasme et ceux qui  ont ressenti dans leur chair l’urgence de la solidarité humaine, l’Institut de la Vie est appelé, nous n’en doutons pas, à jouer un rôle éminent dans l’évolution de nos collectivité.

Notre ambition de principe, avouons-le, n’est point modeste, puisqu’elle ne vise à rien de moins que voir s’ébaucher en lui cette conscience commune qui, jusqu’ici, manquait aux hommes et qui leur sera de plus en plus nécessaire pour coordonner, au besoin contrôler, les effets matériels et moraux d’un pouvoir sans cesse grandissant.
Mais aussi, plus humblement, nous pensons qu’alors même qu’une si vaste mission lui serait refusée, il aurait encore devant lui la perspective d’une activité sérieuse et féconde.
De toute manière, à partir du moment où quelques hommes avaient conçu l’idée d’un tel Institut de la Vie, ils ne pouvaient que mettre tout en œuvre pour lui faire prendre corps. Il eût été inadmissible qu’un si beau rêve s’étant offert à des intelligences, elles s’y fussent dérobées.

La grandeur féconde de votre projet, nous en percevons l’un de signes dans le fait qu’il a su rallier tout de suite autour de l’idéal qu’il incarne des bonnes volontés qu’on eût pu, de prime abord, juger inconciliables.
Voilà que désormais, grâce à vous, près de vous, elles veulent s’unir et travailler de concert, car elles savent que l’entreprise mérite les sacrifices de leurs désaccords. Je dirai même davantage : elles trouvent une satisfaction de rare saveur à négliger ce qui les sépare, pour ne songer qu’à ce qui les unit.
Qui donc refuserait d’être mobilisé, requis, au service de la Vie, au service de l’Homme ? qui donc, au nom d’une opinion politique, d’une idéologie particulière, d’une doctrine partisane, oserait vous refuser son concours, quand il s’agit de rechercher honnêtement, loyalement, sereinement, les justes moyens de défendre l’homme contre lui-même et l’humain contre les hommes ? Qui ne tiendrait à honneur de s’engager dans une si haute aventure ?
Considérables déjà sont les forces spirituelles qui vous soutiennent. Elles ne cesseront de s’accroître, j’en suis certain, à mesure que s’éclaireront vos desseins, que se dégageront vos objectifs, que se situeront plus précisément les points d’application de vos efforts  , et surtout à mesure que vous aurez fait la preuve de votre désintéressement, de votre probité intellectuelle, de votre souci exclusif de l’humain, de votre entière indépendance à l’égard des puissances matérielles et des pouvoirs établis, de votre courage moral, enfin qui ne devra jamais hésiter à prendre nettement parti, chaque fois que l’exigera l’intérêt bien entendu de votre cause.
… Défendre la vie n’est pas chose facile, même en théorie, et les fondateurs de l’Institut de la Vie savent que leur respect même de la vie souffre de contradictions internes. Car la vie s’entend à travailler contre la vie… Le problème de la surpopulation est l’un  des plus dramatiques, des plus angoissants de l’heure. Faudra-t-il, un jour, en venir à empêcher de naître pour se permettre d’empêcher de mourir ? Quand la science aura fourni les moyens de prolonger la vie de chacun, devra-t-on, aux vieillards sacrifier les enfants à naître, et raréfier les berceaux afin de faire attendre les tombes ?
« Comment vous arrangez-vous, disait Vercors, avec le caractère sacré de la vie humaine ? »
Mais ces difficultés, ces ambiguïtés, ces conflits de scrupules ne sont pas propres aux défenseurs de la vie ; ils sont le lot de tous les idéalismes humains, pour peu qu’ils veuillent passer à l’acte. Est-ce que la liberté, quelquefois, ne fait pas échec à la liberté ? est-ce que la justice ne s’insurge pas contre la justice ?
… Si un groupe d’hommes s’est donné pour mission, en 1962, de défendre la vie humaine, ce n’est nullement qu’ils tiennent la vie pour l’unique valeur digne d’être défendue. Mais il leur semble qu’il y a présentement assez de gens pour mésestimer la vie humaine, pour en méconnaître le prix. Ils pensent que si notre civilisation est théoriquement fondée sur le respect de la vie, elle n’en aboutit pas moins, de par la fatalité de son développement, à des situations de fait qui en sont la plus flagrante négation. C’est délibérément qu’ils choisissent de se faire les avocats opiniâtres de la vie. Leur partialité est voulue, leur sectarisme conscient.

En donnant la priorité aux intérêts de la vie humaine, ceux qui parmi nous sont des biologistes ont le sentiment de rester fidèles à leur vocation profonde. Sachant un peu mieux que la plupart de leurs frères humains ce que représente un être humain, ce que représente l’espèce humaine, comment ne se tiendraient-ils pas pour  électivement et spécifiquement commis à veiller sur cette œuvre maîtresse de la nature qu’est le patrimoine chromosomique de l’Homo sapiens ?

D’un héritage sacré – comme dit Muller, et ce qualificatif, avec ou sans prolongement métaphysique, est le seul qui convienne – ils se sentent comptables envers tous. S’ils manquaient à leur devoir de sauvegarde, ils se sentiraient coupables du délit de non-assistance envers l’avenir.

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AXIOLOGIE ET BIOLOGIE

GABRIEL MARCEL, De l’Académie des Sciences Morales et Politiques

Gabriel Marcel

ll est vain d’espérer mettre sur pied l’Institut de la Vie s’il n’est pas procédé au préalable à une réflexion portant sur les valeurs.
Peut-être pourrait-on placer en exergue d’une telle recherche la profonde remarque de Georg Simmel :
« Vivre, c’est vivre plus – mais aussi plus que vivre. »
Dire que vivre, c’est vivre plus, c’est mettre en lumière l’obstination incoercible avec laquelle ce que nous appelons la vie pousse toujours au-delà de tout état actuellement donné, poursuit, engendre inépuisablement. Cette poussée, qu’il est difficile de ne pas regarder comme aveugle, correspond au fond à la volonté telle que l’a conçue Schopenhauer. Je dis qu’il est difficile de ne pas la regarder comme aveugle, parce que ce n’est pas, me semble-t-il, dans la ligne ou dans la dimension de la poussée en tant que telle que peut surgir la conscience. Je note ici d’ailleurs, comme je l’ai fait bien souvent, que le mot conscience convient ici très mal, parce qu’il semble toujours impliquer ne serait-ce qu’un rudiment de réflexivité. Le mot anglais « awareness » me paraît bien préférable.
Ceci s’éclaire, dans une certaine mesure, si l’on observe que l’idée de dépassement, à laquelle on est obligé d’avoir recours, peut correspondre à deux mouvements très différents l’un de l’autre : la poussée elle-même est bien dépassement, mais, pourrait-on dire, dépassement horizontal : aller de l’avant, continuer, c’est bien dépasser, mais sans changer de niveau. Or lorsque Simmel rappelle que « vivre, c’est aussi plus que vivre » il a en vue quelque chose de tout différent… Le fait que la vie… (mieux vaudrait d’ailleurs dire le vivre) tende vers une organisation ou une structuration, qui est au-delà du processus, dans la mesure même où elle en est l’accomplissement ; or, si l’on peut parler de valeur, il est manifeste que c’est exclusivement en référence à cette seconde espèce de dépassement.
Le professeur Marois, dans son excellent exposé introductif, a déjà insisté avec juste raison sur la précarité de la vie. Et tout indique qu’il y a, pour lui comme pour bien d’autres, une étroite relation entre le précaire et le précieux. Mais ce qui est menacé, aujourd’hui, ce n’est pas la vie considérée comme poussée, ou comme obstination, ce sont les formes dans lesquelles elle s’accomplit et se dépasse ; et cela, d’autant plus que ces formes sont à la fois plus complexes et mieux unifiées, c’est-à-dire plus organisées.
Plusieurs questions liées entre elles doivent, me semble-t-il, être posées ici par le philosophe au biologiste.
Ce dernier admet-il, ou peut-il se dispenser d’admettre l’existence d’une hiérarchie des structures ? S’il l’admet, croit-il possible de ne pas introduire ainsi, du même coup, un élément axiologique ?
Mais d’autre part, un biologiste ne sera-t-il pas spontanément en défiance contre l’indice de subjectivité qui risque d’affecter cet élément ?
En ce qui me concerne, il me paraît difficile, dans la ligne de recherche qui est la nôtre, de ne pas prendre comme point de départ – ou plus exactement comme axe de référence – les modalités de la vie que nous rencontrons chez l’homme.
Ce qui nous apparaît aujourd’hui comme spécialement menacé, ce sont ces modalités. Il y a d’ailleurs sûrement lieu de faire intervenir, ainsi qu’on l’a fait observer l’autre jour, un certain milieu vital appelé biosphère et en dehors duquel la vie humaine ne saurait subsister.
Mais le point sur lequel je voudrais personnellement attirer l’attention, c’est qu’à partir du moment où nous pensons à la vie humaine, nous sommes, semble-t-il, inévitablement conduits à outrepasser les limites du domaine strictement biologique.
Et ici se vérifie clairement la formule de Simmel. Ne constatons-nous pas, en effet, que la vie humaine se développe non pas seulement ou principalement selon la ligne de poussée horizontale, mais entre des niveaux qui ne peuvent être appréciés, si j’ose dire, qu’axiologiquement ?
C’est une question difficile et, mes semble-t-il, très obscure, que de savoir si le biologiste, en tant que tel – ces mots ont-ils d’ailleurs un sen ? – peut éclairer de façon appréciable ce que j’appellerai le champ axiologique.
En des sens d’ailleurs très différents, Nietzsche d’une part, Bergson et ses successeurs, de l’autre, ont cru à cette possibilité. Il me paraît d’ailleurs évident que cette possibilité est postulée par le projet sur lequel nous avons à réfléchir aujourd’hui.
Pour ma part, je me garderai d’adopter sur ce point une position catégorique. Je m’élèverai seulement contre des affirmations souvent sommaires et aventurées qui ne me semblent pas reposer sur un examen suffisamment précis des notions fondamentales.
Ces considérations peuvent, au premier abord, paraître terriblement abstraites. Mais, en réalité, nous avons à reconnaître que, du fiat du prodigieux développement des techniques qui s’est poursuivi depuis un quart de siècle, des problèmes pratiques entièrement nouveaux, et qui auraient été inimaginables pour nos devanciers, se posent avec un caractère d’urgence tel qu’ils ne peuvent absolument plus être éludés.
Mais il ne suffit plus de savoir si l’on peut exercer telle action transformante sur le vivant qu’est l’être humain. Il faut encore, et avant tout, se demander si cette action est justifiable ou non, désirable ou non, licite ou non ?
Et comme préalable à ces questions particulières, une question surgit qui porte sur la légitimité de ces questions elles-mêmes, et tout spécialement sur le bien ou le mal-fondé de la distinction entre le licite et l’illicite.
Je n’aperçois pas, quant à moi, par quel biais le biologiste comme tel pourrait, je ne dis même pas y répondre, mais la poser. On pourrait prendre ici des exemples aussi divers que les restrictions à la natalité, que la parthénogenèse artificielle, l’insémination artificielle, l’euthanasie, et combien d’autres ?
Je dois pourtant avouer que je ne me satisfais pas de la solution traditionnelle qui consiste à dissocier radicalement la part du biologiste et la part de celui que, jusqu’à une époque récente, on appelait encore couramment le moraliste. Il me paraît difficiles de contester que l’idée traditionnelle du moraliste est aujourd’hui l’objet d’un discrédit presqu’universel, et, avec elle, une certaine façon beaucoup trop dogmatique, beaucoup trop sommaire, de concevoir la normativité.
Celle-ci ne me paraît pas impliquée nécessairement par une axiologie digne de ce nom. J’ai le sentiment – je dois le dire, confus – qu’une coopération doit être tentée  beaucoup plus étroitement qu’elle ne le fut jamais, en raison même de l’urgence à laquelle j’ai fait allusion, entre des modes de réflexion qui s’exercent initialement sur des types d’expériences très divers, mais qui doivent néanmoins se rejoindre, faute de quoi ‘unité de l’homme – et ajouterai-je même, de l’humain dan l’homme – serait non seulement compromise, mais, en fin de compte, définitivement brisée.
Dans cette perspective, c’est cette préoccupation de l’unité qui doit être comme le fil conducteur de notre recherche.

  L’Institut de la Vie est né de la rencontre de biologistes soucieux d’exercer leurs responsabilités sociales et d’une organisation apolitique, la Fédération mondiale des anciens combattants. (N.D.L.R.)

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